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Une histoire sombre et tellement réelle - les efforts d'avancer.


Selon l’article « Canada confronts its dark history of abuse in residential schools » de Mali Ils Paquin, de 1876 a 1996, le gouvernement au Canada rendait obligatoire la présence des enfants indigènes dans les “écoles résidentiels.” La source nous informe que les écoles résidentielles, dirigeait par l’église et finançaient par l’Etat, avaient le but de s’intégrer des enfants indigènes dans la société blanche, euro-canadienne. En faisant cela, les missionnaires dans ces institutions utilisait un mode brutal. Les enfants ont été prises de leurs familles et privés de tout ce qu’ils savaient (Hanson, Erin, n. pag). L’impact émotionnel de cet endoctrinement et les effets mentaux/violence physique ne seront jamais oublié. Une survivante, Sue Caribou, raconte l’abus sexuel et mental comme une fille a l’institution de Guy Hill, de 1972 jusqu’a 1979 - le viol, l’interdiction de parler Cree (sa langue maternelle), et le fait que les missionnaires s’appelait un “chien (Ilse, Paquin, Mali, n. pag).” Le traumatisme vit encore parmi eux. Le Juge Sinclair de La Commission de la Vérité et de Réconciliation a dit d’une manière firme que des écoles faisaient parties de la génocide culturelle. Allant vers 6,000 enfants sont morts (Ilse Paquin, Mali, n. pag).

Des écoles résidentielles menaient à la perte de la culture et de la langue - mission accomplie. Jusqu’aujourd’hui, ces aspects importants de la vie pour des Premières Nations souffrent(Hanson, Erin, n. pag). Avec la connaissance qu’il faut faire quelque chose pour conserver ces langues précieuses, les gens combattent les chiffres des locuteurs de ces langues qui diminuent. Ils se focalisent sur la revitalisation de la culture indigène. Ça se passe dans une multitude de façons.

Une façon pour laquelle - la technologie. La technologie aide à garder des langues indigènes, aussi. Selon Indigenous Corporate Training, Inc., un service qui donne aux entreprises de la formation dans les relations indigènes, il y a des dictionnaires en ligne et des applis pour apprendre de la culture et la langue. Par exemple, il y a un appli qui s’appelle Ojibway People and Language. Il y a aussi des cours dans les universités et d’ailleurs qui se focalisent sur la culture/et ou sur des langues indigènes (Pereira et Morgan n. pag).

L’article “Changing History”, de Wendy Stueck et Caroline Alphonso, discute de la conscience vers l’expérience des Premières Nations parmi des éducateurs aux lycées. L’article (2017) mentionne que le gouvernement d’Alberta va payer $4 million CAD pour consulter des groupes indigènes et pour assurer que le nouvel contenu fourni aux étudiants, reflet suffisamment les points des vues Inuit, Métis, et les Premières Nations. Quelques éducateurs prennent des étapes plus approfondies pour assurer que le contenu résonne. Par exemple, un éducateur dans Edmonton, Mr. Cardinal, prend ses étudiants sur des sorties scolaires, en allant aux événements dans les communautés indigènes pour un jour plus mémorable (Stueck et Alphonso, n. pag).

Les politiques linguistiques fascistes et "mission civilisatrice"

Des écoles résidentielles représentent l’attitude envers la langue parmi des dictateurs fascistes. Dans l’article érudit de Klaus Bochmann - « Racism and/or Nationalism: Minorities and Language Policy under Fascist Regimes », Bochmann discute la répression des Catalans sous Francisco Franco. L’utilisation de la langue, qu’elle soit orale ou écrite, n’était pas permise. Le but de Franco était l’élimination de l’identité Catalane (Bochmann, 134). Henri Grégoire, avec son essai sur la régénération physique, morale et politique des Juifs (1785), cherchait aussi de déconstruire l'identité - spécifiquement, l'identité juif (Kasuya, 240). Un "philo-sémite", Grégoire était un grand défenseur de la citoyenneté des Juifs...mais contre l'usage de leurs langues respectives - la langue pour une group, dans son opinion, était une sorte de privilège fermé (Kasuya, 241). Cette exclusivité ou intimité n'était que pour quelques personnes qui pourraient bénéficier en cachant des secrets de ceux qui n'appartient pas au communauté:

"Sans doute on parviendra quelques jours à extirper cette espèce d'argot, ce jargon tudesco-hébraïco-rabbinique [yiddish] dont se servait les Juifs allemands, qui n'est intelligible que pour eux, et ne sert qu'à épaissir l'ignorance ou à masquer la fourberie." - (Grégoire as qtd. by Kasuya, 241).

L'élimination des langues minoritaires ou "idiomes féodaux" jusqu'a 'la persuasion pédagogique/culturelle' était importante pour l'avancement total de l'état - les implications toutes positives (242):

"Les gouvernements ignorent ou ne sentent pas assez combien l'anéantissement des patois importe à l'expansion des lumières, a la connaissance épurée de la religion, à exécution facile des lois, au bonheur national, et à la tranquillité politique." (Grégoire as qtd. by Kasuya, 241).

Jules Ferry avait presque la même attitude vers la langue mais une approche plus forte. Il a établit l'éducation gratuite et obligatoire et facilitait une présence militaire à l'étranger - Indochine et Tunisie(Kasuya, 242). Ferry souscrirait à l'idée que les races 'supérieures' avaient une obligation pour civiliser celles qui ne sont pas (Kasuya, 242).

Donc, les écoles résidentielles ne sont pas le seul exemple de l'utilisation de l'éducation pour civiliser 'les moins importants' en dégradant leurs langues/leurs cultures pour le pouvoir maximum de l'état, mais aussi, leur propre avantage présumé.

C'est clair que l’attaque sur la langue est pour déstabiliser des identités qui se contredisent avec l’identité dominante - la culture et la langue font parties de l’identité dans une façon très importante. Une culture unie et forte a plus de pouvoir de gâcher le progrès d’un peuple qui s’est infiltre d’un lieu et donc de lutter pour préserver leurs droits. C’est pour ça que les gens puissants tiennent le pouvoir.

Je pense que c’est excellent que, maintenant, les gens apprécient l’importance des langues, cultures, et histoires indigènes. Ils reconnaissent qu’il faut les protéger pour que les générations futures n’oublient pas leurs racines. Pour éviter la même atrocité comme les écoles résidentielles, les choses la qui se sont passées et l’empreinte sur la société, ne peut jamais être oublié. C’est important que Monsieur Sinclair l’appelait “une génocide culturelle.” Mais ce n’est pas assez. Il faut que les autres officiels disent la même chose. En 2008, le Premier ministre, Stephen Harper, a présenté ses excuses pour le Canada (« A Long Waited Apology… » n. pag). C’était un événement marquant, et une représentation de progrès. Mais, Harper n’a pas les appelait une génocide culturelle. Je pense que c’est important que les officiels disent cela et prend des étapes pour améliorer la mode de vie pour des indigènes - selon le site web indigenousfoundations.org, il y a des grands problèmes dans ces communautés - de pauvreté, suicide/de la blessure volontaire (apparement, 40% des morts parmi des gens 10-44), l’alcoolisme - sans doute, attribué au traitement des indigènes et comme résultat de l’internalisation que leurs cultures et langues sont d’un statut de deuxième place, et la mode de vie européanne est la norme. Cette attitude et ces problèmes passe d’une génération à la suivante.

Qu’est-ce que vous pensez ? Est-ce que vous pensez que le gouvernement fait des actions responsables et justes de la part des indigènes, pour remédier des souffrances et assurer que ces cultures, langues, et récits survivent ? Pour se battre contre les effets néfastes de la suprématie blanche ? Ou est-ils irresponsables, fourbes, insuffisantes ?

Sources :

“A Long-Waited Apology for Residential Schools.” News Special, 11 June 2008.

Bochmann, Klaus. Racism and/or Nationalism: Minorities and Language Policy under Fascist Regimes. p. 134.

Hanson, Erin. The Residential School System. Indigenousfoundations.arts.ubc.ca.

Ilse Paquin, Mali. Canada Confronts Its Dark History of Abuse in Residential Schools. The Guardian, 6 June 2015.

Kasuya, Keisuke. “Discourses of Linguistic Dominance: A Historical Consideration of French Language Ideology.” International Review of Education / Internationale Zeitschrift Für Erziehungswissenschaft / Revue Internationale De L'Education, vol. 47, no. 3/4, 2001, pp. 235–251. JSTOR, JSTOR, www.jstor.org/stable/3445343.

Pereira, Amanda, and Jillian Morgan. What You Need To Know About Indigenous Language Revitalization. Indigenous Corporate Training, Inc., 25 Apr. 2017.

Stueck, Wendy, and Carolina Alphonso. Changing History. The Globe and Mail, 12 Nov. 2017.

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